La constitution des savoirs dans l’action

Theureau Jacques
Langue de rédaction : Français
DOI: 10.3406/intel.2010.1180
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Cet article présente une version révisée d’une conférence de Janvier 1997 qui, pour la première fois, explicitait la notion de signe hexadique qui, depuis, s’est enrichie de plusieurs notions et hypothèses subordonnées et s’est avérée féconde dans de nombreuses disciplines universitaires et de nombreux domaines sociaux, techniques et culturels. Il le fait à travers une étude de cas concernant laquelle tout lecteur urbain peut avoir une opinion fondée sur l’expérience. Cette notion de signe hexadique est centrale dans une phénoménologie de l’activité humaine développée comme préalable à une anthropologie cognitive de cette activité humaine, qui s’intéresse aux contraintes et effets de celle-ci dans les corps, les situations et les cultures des acteurs. Si sa formulation est passée par des auteurs peu sollicités dans les sciences cognitives, les Stoïciens, Fichte, Peirce et Sartre, elle s’inscrit dans l’hypothèse de l’enaction de Maturana et Varela et les notions de ses composantes entretiennent des relations contrastées avec des notions de la littérature internationale.



Pour citer cet article :

Theureau Jacques (2010/1-2). La constitution des savoirs dans l’action. In Steiner Pierre & Stewart John (Eds), Philosophie, Technologie et Cognition, Intellectica, 53-54, (pp.95-128), DOI: 10.3406/intel.2010.1180.